L’EVOLUTION DE LA FEMME DANS” LA PETITE FILLE DE REVERBERE, LES HONNEURS PERDUS ET C’EST LE SOLEIL QUI M’A BRÛLÉE DE CALIXTHE BEYALA

Main Article Content

DIBIE GODFREY ATUNU (PhD)

Abstract

L’évolution socioculturelle est une pellette de concepts décrivant comment les cultures et les sociétés on évolue au cours du temps. Ainsi, l’évolution socioculturelle peut être définie comme le processus par lequel l’organisation structurelle d’une société est affectée dans le temps, par exemple en produisant une structure qualitativement différente da la forme passé. l’évolutionnisme est alors l’occurrence de ces changements structurelle.


Selon laessen, de telle théorie impliquent la création de modèles pour la compréhension des relations entre les technologies, les structures socials, les valeurs de la société et comment /pourquoi elle changent dans le temps, pourquoi elles variaient en empruntant les mécanismes spécifiques comme nous avons noté dans ¨La pétite fille de réverbère¨ ou Ta poussière est symboliquement devenu ce que de nombreux Africains de l’ouest appellent une fille mâle parce que sa vie a progressivement chargé d’une fille misérable, abandonnée et frustrée au début à un adulte indépendante, courageuse de grand succès et dans ¨Les Honneurs Perdus, nous avons le cas de Saida,. Au commencement, Saida était une femme sans formation, ni mari à l’âge de 40 ans frustrée et misérable au village, mais finalement elle a ressuit a l’école, quitte le village et voyagé en France où elle a apprit comment lire et écrire le français et se marie et perd sa virginité avec son mari. Et aussi pour Ateba dans ¨C’est le soleil qui m’a brûlée, la ; nous avons aussi noté comment Ateba tue l’homme qui vient de la violer. Après sa lutte. Cette action par Ateba est considéré comme acte de défense légitime et aussi un acte de libération de la femme.

Downloads

Download data is not yet available.

Article Details

Section

Articles

How to Cite

DIBIE GODFREY ATUNU. (2024). L’EVOLUTION DE LA FEMME DANS” LA PETITE FILLE DE REVERBERE, LES HONNEURS PERDUS ET C’EST LE SOLEIL QUI M’A BRÛLÉE DE CALIXTHE BEYALA. International Journal of Law, Politics and Humanities Research, 6(6). https://cambridgeresearchpub.com/ijlphr/article/view/383

Most read articles by the same author(s)

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >> 

Similar Articles

You may also start an advanced similarity search for this article.